A voir jeudi 9 mars 2017 à 20h55 sur NT1 |
Adapté d’un ouvrage de l’incontournable Stephen King, «La Ligne verte» est un film pétri de bons sentiments dont la durée (trois heures) pourra paraître franchement exténuante aux yeux d’un spectateur peu entraîné à ce genre de film marathon.
En 1935, dans un pénitencier de la Louisiane, un maton bienveillant du nom de Paul Edgecomb (Tom Hanks) est confronté à un nouvel avatar de Jésus-Christ, en la personne de John Coffey (Michael Clarke Duncan), un colosse noir condamné à la chaise électrique pour le meurtre «sauvage» de deux petites filles, un meurtre dont il n’est peut-être pas l’auteur. Œuvrant à l’«accompagnement» des condamnés à mort, Paul est frappé par l’aura particulière que diffuse tout autour de lui John Coffey (visez un peu les initiales «signifiantes» du personnage); le «bon géant noir» allant jusqu’à accomplir quelques miracles!
Inférieur aux «Evadés» (1994), que l’on devait déjà au duo Frank Darabont/Stephen King, «La Ligne verte» remporta un grand succès aux Etats-Unis qui semblent friands de ce genre de «bondieuseries» dégoulinantes…
The Green Mile
de Frank Darabont
Etats-Unis, 1999, 3h09